Efficient Network Consultants a participé au lancement du World Energy Outlook 2024 par l’Agence internationale de l’énergie (AIE), un événement rassemblant les grands acteurs mondiaux de l’énergie. Le rapport, qui révèle un investissement record de plus de 2 000 milliards de dollars dans la transition énergétique en 2024, a offert une base solide de discussions pour Efficient Network. La société a pris part à des ateliers centrés sur l’électrification, les pôles d’hydrogène et l’équité énergétique, partageant son expertise dans la transition énergétique.
Efficient Network a souligné la nécessité de feuilles de route globales harmonisées pour assurer une transition juste, efficace et alignée sur les objectifs climatiques
Forte de sa participation en 2023, Efficient Network Consultants a retrouvé les leaders de l’industrie au FT Commodities Global Summit 2025 à Lausanne. Dans un contexte de forte volatilité des marchés – notamment pour le cacao, le lithium et les terres rares – le sommet s’est focalisé sur la résilience financière et l’approvisionnement éthique. Efficient Network a partagé ses analyses prospectives sur les mécanismes de financement des matières premières, l’intégration ESG dans les portefeuilles de trading et les stratégies de gestion des risques. Ses contributions ont été saluées lors des sessions consacrées à la sécurité des minerais critiques et à l’intelligence artificielle dans la prévision des chaînes d’approvisionnement.
La participation d’Efficient Network Consultants au Global Commodities Forum 2024, organisé par la CNUCED, a mis en évidence son engagement envers les grands enjeux situés à l’intersection des matières premières et du développement. Le forum a particulièrement porté sur la demande croissante en minéraux critiques pour la transition énergétique, une demande qui devrait tripler d’ici 2030 et quadrupler d’ici 2040, ouvrant ainsi aux pays riches en ressources des perspectives de prospérité et de développement durable. Efficient Network a insisté sur l’importance de chaînes de valeur équitables et sur la nécessité de ne pas limiter les bénéfices de l’extraction minière aux seules recettes fiscales, mais de promouvoir également des retombées sociales et environnementales plus larges.
L’engagement chinois en Afrique, loin de s’essouffler, se transforme en profondeur. Pour les acteurs africains, cette évolution implique une vigilance stratégique : tirer parti de la réorientation vers l’industrialisation, négocier des partenariats équilibrés, et développer les capacités locales pour éviter les dépendances asymétriques.
Les partenaires occidentaux, quant à eux, doivent intégrer cette nouvelle donne dans leurs stratégies d’influence économique et diplomatique sur le continent. L’Afrique, acteur central de cette triangulation géoéconomique, dispose d’un levier d’action inédit — encore faut-il qu’il soit exploité avec lucidité et vision à long terme.
En 2024, la République populaire de Chine poursuit une reconfiguration stratégique de son engagement économique international, dans un contexte marqué par le ralentissement de sa croissance intérieure, la montée des tensions géopolitiques, et une volonté affirmée de diversification de ses partenariats globaux. L’Afrique, acteur majeur du Sud global, reste au cœur de cette dynamique, avec des évolutions notables dans les secteurs du commerce, de l’investissement, de la finance, de la coopération monétaire et des échanges humains.
Pour les décideurs africains comme pour les acteurs économiques internationaux, comprendre les ressorts de cette nouvelle phase de la présence chinoise est fondamental pour anticiper les trajectoires économiques et les risques/opportunités à moyen terme.
Commerce : Vers une nouvelle structuration des flux
Le commerce bilatéral sino-africain a atteint 282 milliards de dollars en 2023. Ce chiffre, bien que impressionnant, masque des déséquilibres persistants : l’Afrique reste principalement un fournisseur de matières premières, notamment de minerais stratégiques (lithium, cobalt), tandis que la Chine exporte des biens manufacturés à forte valeur ajoutée. La baisse des importations de pétrole africain, au profit de fournisseurs plus stables (Moyen-Orient, Russie), illustre un recentrage chinois sur la sécurité énergétique.
L’émergence de produits agricoles semi-transformés (avocats kényans, viande namibienne) ouvre néanmoins une brèche stratégique dans la composition des exportations africaines. Le développement de plateformes e-commerce sino-africaines comme Kilimall ou JD.com marque aussi une évolution structurelle, rapprochant les marchés et stimulant l’intégration des PME africaines dans les chaînes de valeur.
Investissements : De l’infrastructure à l’industrialisation
Le retrait progressif des investissements publics chinois dans les infrastructures lourdes (routes, barrages, chemins de fer) reflète un réalignement stratégique. Désormais, la priorité est donnée à l’industrialisation locale, portée par le secteur privé chinois. Ce repositionnement, qui
concerne notamment la transformation agro-industrielle et minière, répond à la fois aux besoins des marchés africains (consommation domestique croissante, ZLECAf) et aux contraintes géopolitiques chinoises (sécurisation des chaînes d’approvisionnement critiques).
Cela marque une opportunité pour les pays africains souhaitant monter en gamme dans la chaîne de valeur, à condition de développer un environnement d’affaires compétitif : énergie fiable, infrastructures logistiques, main-d’œuvre qualifiée et politiques industrielles incitatives.
Stabilisation budgétaire : Vers une logique d’accompagnement ciblé
Face à la montée du risque de surendettement en Afrique, la Chine privilégie désormais des approches différenciées de gestion de la dette. L’accord conclu avec la Zambie en 2023 (rééchelonnement plutôt que annulation) traduit une évolution vers une logique de « stabilisation maîtrisée » plutôt qu’un désengagement financier.
Les instruments mobilisés incluent les prêts relais, les fonds de capital-investissement sino-africains, et des partenariats publics-privés ciblés. Ces approches, bien que complexes à mettre en œuvre, permettent de maintenir l’influence économique de Pékin tout en réduisant son exposition directe aux risques souverains africains.
L’internationalisation du RMB est une dynamique opportuniste. L’usage croissant du renminbi (RMB) dans les échanges sino-africains répond à une double logique : diversification des mécanismes de règlement (face aux risques liés au dollar) et offre d’alternatives crédibles aux économies africaines confrontées à une forte volatilité de leur monnaie. Des accords de swap avec les banques centrales africaines, couplés à des initiatives comme le PAPSS, témoignent de cette stratégie. À court terme, l’internationalisation du RMB reste limitée, mais elle peut s’intensifier dans un contexte de reconfiguration monétaire globale et de pressions sur les réserves de change africaines.
Relations humaines : Renforcement du soft power chinois
Sur le plan éducatif et culturel, la Chine renforce activement ses leviers d’influence. En accueillant plus de 80 000 étudiants africains et en multipliant les partenariats universitaires (Confucius Institutes, workshops Luban), Pékin investit dans la formation des élites de demain. La présence croissante de contenus africains sur les plateformes chinoises et la multiplication des accords de facilitation touristique renforcent les liens bilatéraux à l’échelle sociétale. Cependant, les critiques croissantes sur la qualité de l’enseignement, les opportunités professionnelles et l’accueil des étudiants étrangers constituent des axes à surveiller dans l’évaluation de la durabilité de cette stratégie.
Lors du Global Supply Chain Forum 2024, organisé par la CNUCED à la Barbade, Efficient Network Consultants a partagé son expertise sur la logistique des matières premières et en décarbonation des chaînes de valeur. Le forum s’est concentré sur la refonte des chaînes d’approvisionnement mondiales à l’ère de l’instabilité géopolitique et de l’urgence climatique. Efficient Network propose des solutions concrètes pour intégrer la durabilité dans la logistique commerciale, mettant en avant des outils numériques de traçabilité et des stratégies de réduction des émissions.

Efficient Network Consultants a activement participé au 7e Mare Forum, tenu à Genève le 19 mars 2024, réunissant les leaders du secteur maritime pour aborder les enjeux cruciaux tels que la transition énergétique, la croissance de l’industrie et les dernières innovations dans le transport maritime et le commerce international.
Le forum a mis en lumière la nécessité de stratégies proactives pour se conformer aux nouvelles réglementations internationales, tout en soulignant le rôle essentiel de la digitalisation dans l’atteinte d’objectifs durables et économiquement viables. La présence d’Efficient Network a renforcé sa position de conseiller expert auprès des acteurs du maritime confrontés aux défis de la décarbonation du secteur.
Leur contribution est d’autant plus pertinente dans un contexte où l’industrie maritime connaît une transformation significative : les commandes de navires alimentés par des carburants alternatifs ont bondi de 50 % en 2024, atteignant 600 nouvelles unités dans le but d’accélérer la transition vers un transport plus propre. Grâce à son expertise en stratégie de transition énergétique, Efficient Network s’est imposé comme un interlocuteur crédible et incontournable tout au long des échanges du forum.
Lors de l’International Energy Week 2024 à Londres, Efficient Network Consultants a pris part à plus de 30 sessions couvrant les scénarios énergétiques, le financement, l’innovation technologique et la recherche d’une transition juste. L’événement a réuni des leaders du secteur pétrolier et gazier, des représentants gouvernementaux, des ONG et des chercheurs afin de partager des perspectives et nouer de nouveaux partenariats. L’engagement d’Efficient Network dans ce forum s’inscrit dans une dynamique mondiale d’accélération des investissements dans les énergies propres. En 2024, les investissements mondiaux dans la transition énergétique ont dépassé pour la première fois les 2 000 milliards de dollars, tandis que la dette liée à la transition
énergétique a atteint 1 000 milliards de dollars, soit une augmentation de 3 % par rapport à 2023.